SMS, notifications diverses et variées de Snapchat, Instagram, WhatsApp, capsules vidéo sur Facebook... Plus que jamais, nous sommes quotidiennement submergés de vérités toutes faites. Des messages souvent courts mais chargés en émotion, qui ont pour but de capter notre attention. Ces sollicitations, qui se renouvellent à une vitesse affolante, peuvent avoir des conséquences redoutables sur la consommation de l’information.
Les esprits les moins structurés sont davantage perméables aux infox et aux manipulations en tous genres. Dans ce contexte, se méfier des fausses évidences en matière religieuse est une attitude indispensable pour se prémunir contre l’embrigadement de la pensée.
C’est l’objectif assigné au nouveau programme « La Casa del Hikma », produit par et diffusé sur Saphirnews.com. Il faut restituer la complexité aux discours afférents au religieux. Mais surtout, il faut accompagner l’effort théologique par une pédagogie qui puisse toucher les masses, créer l’interface entre les intellectuels de l’islam et les jeunes musulmans en quête de sens. Car il est nécessaire que ces deux mondes aujourd’hui totalement parallèles puissent se rencontrer et se nourrir l’un de l’autre.
Ainsi, nous pourrons battre en brèche les préjugés qui obscurcissent la compréhension des textes. L’islamologue Michaël Privot souligne, à juste titre, les sacrifices réalisés par de nombreux musulmans au nom d’une certaine compréhension de l’islam aux coûts humains, psychologiques et sociales faramineux. Quel gâchis !
Les esprits les moins structurés sont davantage perméables aux infox et aux manipulations en tous genres. Dans ce contexte, se méfier des fausses évidences en matière religieuse est une attitude indispensable pour se prémunir contre l’embrigadement de la pensée.
C’est l’objectif assigné au nouveau programme « La Casa del Hikma », produit par et diffusé sur Saphirnews.com. Il faut restituer la complexité aux discours afférents au religieux. Mais surtout, il faut accompagner l’effort théologique par une pédagogie qui puisse toucher les masses, créer l’interface entre les intellectuels de l’islam et les jeunes musulmans en quête de sens. Car il est nécessaire que ces deux mondes aujourd’hui totalement parallèles puissent se rencontrer et se nourrir l’un de l’autre.
Ainsi, nous pourrons battre en brèche les préjugés qui obscurcissent la compréhension des textes. L’islamologue Michaël Privot souligne, à juste titre, les sacrifices réalisés par de nombreux musulmans au nom d’une certaine compréhension de l’islam aux coûts humains, psychologiques et sociales faramineux. Quel gâchis !